Les adresses doivent être ‘fictives-réelles’, c’est à dire que, données dans une fiction, elles doivent néanmoins correspondre à une adresse en ville qui ne l’est pas, fictive, une adresse en dur, postale, une adresse avec une boitalettres…(Sera-ce suffisant pour établir que Que (queque) Neau écrivait ‘dans la vraie ville’ ? Non, et on verra pourquoi…)
Ici, lettre à Mme Dutilleul, des ‘Derniers jours’, amicale et vieille maîtresse de Brabbant, ce cher vieil escroc. Son adresse dans le roman, 80bis rue des Petits Champs, (section de rue chamboulée et refaite, devenue Danielle Casanova en 1944) a été ‘adaptée’, glissement (tel qu’établi par Pierre David in Dictionnaire des personnages de R.Q., Pulim) nécessaire à une bonne distribution.