Jeudi 12 mai 2011, vers 5 heures, comme le 67 où je suis installé passe devant la Comédie Française. Très vite, près de la colonnade du théâtre : un type en doudoune bleu ciel, à la très longue barbe qu’il caresse, est vêtu de collants noirs. Une capuche dissimule le haut de son visage mais, à de forts mouvements de tête et des épaules, on devine qu’il rigole. Il tourne en rond.