Mardi 9 février 2016, vers onze heures, à Valence, près des voix ferrées, au centre ville. Petit temps frais, la zone est déserte, la gare approche ; je croise un drôle d’attelage : une femme très agitée pousse un vélo, très alourdi par de très nombreux sacs et à quoi est accroché une carriole bâchée, qui contient un vélo. Elle est très agitée, mais avance très lentement : la bâche de plastique prend le vent, se défait sans arrêt, mal arrimée : il faut réajuster le vélo dans la carriole et tenter de fixer le plastique. C’est fait très vite, et très vite la femme bi-cycliste repart à pousser l’ensemble. Trente mètre plus loin, ça re-re-glisse, c’est à refaire.