la cinoque infiniment triste
Mercredi 18 juillet 2012, vers cinq heures, sous les arcades du marché Saint-germain, à une terrasse tranquille, en retrait du quartier. Jenny me signale : ‘…tiens, il y a quelqu’un pour toi, là, derrière….’ : bonnet tricoté, air infiniment triste, jean, imper serré et chaussures légères de tennis, assise de guingois. Rien à dire sinon … Read more