Dimanche 23 juin 2013, dans l’autobus 65, autour de la Gare du Nord (mes notes sont incomplètes quant à l’heure : plutôt le matin) ; je suis dans le bus, et une femme, petite et ronde, très brune, grands yeux, attends à l’arrêt. Elle ne monte pas : j’ai le temps de noter, très vite, qu’il n’y a rien à signaler sauf qu’elle porte deux chapeaux superposés, de feutre, tirés et plaqués loin sur les oreilles. Rien d’autre, le bus redémarre : elle a aussi une écharpe de supportrice de foot, aux couleurs nationales portugaises, bien arrangée autour du cou, à plat et croisée. L’écharpe semble très sale.